Entre les spots Jeunes Illimités d’Universal Mobile et ceux de Numericable, la publicité française va mal en ce moment, même si certains spots sortent un peu du lot (en même temps c’est pas difficile).
Et si je trouve le spot Carrefour bien foutu (j’aime beaucoup la phrase sur profiter de la technologie avant qu’elle soit dépassée), c’est incontestablement la pub Orange Internet qui marque les écrans depuis ce weekend. Même si elle reprend un concept ultra grillé (le double sens des mots), qu’elle apporte rien de nouveau et que la chute est naze, elle se détache de la merde ambiante qu’on nous sert entre deux épisodes de Lost (sur TF1 pour les retardataires comme moi).
Alors plutôt que de critiquer gratuitement (chose que j’adore soit dit en passant), j’ai décidé de faire ma propre version de cette campagne. Eventuellement NSFR par moments, forcément. Mais n’ayez pas peur, cliquez quand même pour (suite…)
Après le couple Obama, le musée Madame Tussauds continue d’écouler son stock de cire marron inutilisé depuis des années en réalisant actuellement une statue de Snoop Dogg. Troisième artiste à être immortalisé après 2Pac et Notorious BIG (la rumeur veut qu’ils aient utilisé 1 tonne de cire pour la statue de Biggie), Snoop entre donc l’histoire de la culture américaine. Pas mal quand on sait qu’on n’y a pas si longtemps il rappait à côté de porn-stars en pleine action et qu’il voulait sortir une ligne de vêtements avec Christian « Ed Hardy – Von Dutch » Audigier.
De son côté, Jay-Z a choisi de rentrer dans la culture américaine d’une manière tout aussi classe: il a en effet été choisi pour figurer en couverture d’un livre d’Histoire étudié au lycée, « The Interesting Narrative of the Life of Olaudah Equiano« , qui raconte « la vie d’un Nigérien, et ses quêtes ancrées dans les coutumes politiques, culturelles, religieuses et économiques de sa Culture d’origine ». Le rapport avec Jay-Z? Aucun, mais l’éditeur avait surement envie de recevoir un album et des t-shirts RocaWear gratuits.
The Yellow Kid 