Adidas Beast x Superman

Je sais ce que vous allez me dire, et vous aurez raison: on ne sort pas dans la rue avec des boîtes aux pieds. Alors dire que le seul argument valable pour acheter cette paire d’Adidas Superman c’est que la boîte défonce, c’est maigre, forcément.

En même temps, je trouve que la Beast (designée par Dwight Howard) qui sert de modèle de base est tout simplement horrible. Et c’est pas deux « S » rouges et une semelle transparente qui laisse penser que tu as botté le cul de Ronald McDonald, qui vont nous convaincre de nous ruer dans les rares shops qui proposeront cette paire le 1er novembre prochain.

En plus, ils ont même pas mis de cape à l’arrière. Scandale.

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L’édito de la fin de la semaine

Vous ne le verrez pas parce que vous lirez tout d’un coup une fois que j’aurais corrigé le brouillon, mais je viens de passer 10 minutes à chercher une phrase d’intro avant de commencer à écrire. Impossible de démarrer. D’habitude je tape un mot et le reste coule sans trop réfléchir, en quasi one-shot comme Jalane et Nuttea. Mais ce soir, page HTML blanche, rien ne sort. En même temps vous m’avez pas aidé faut dire. Parce que depuis ce matin, j’ai l’impression que des milliers de pupilles me scrutent, à tort d’ailleurs. C’est un peu le trac avant de monter sur scène, il parait que les premières minutes sont les plus dures, qu’après ça roule tout seul. Mon cul ouais. Je suis sur scène et ils ont oublié d’éteindre les lumières dans la salle, je vois le public et j’ai beau utiliser des techniques nazes comme imaginer tout le monde à poil, ça marche pas (même si j’aime bien te voir toute nue, oui toi la fille au fond). Pourquoi je me prends la tête? Pour rien en fait. Comme d’hab. Et on a beau me le répéter et m’encourager à écrire pour me remettre dans le bain tout de suite (la fameuse technique du « bois lorsque tu commences à avoir la gueule de bois et ça ira mieux »), je reste figé. Pour des raisons tellement pourries que j’ai même honte de les avouer, alors que Dieu sait que j’ai déjà dit de la merde dans les précédents éditos.

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[Semaine Retro] Yellow Carpet: IN / OUT

IN: Craig Mack, Puff Daddy et Notorious BIG. Vous pouvez me faire confiance, ce trio va régner de nombreuses années sur le hip hop, va sortir des albums à ne plus savoir qu’en faire et va remplir des stades. Vivement que la tournée « Life After Death » passe en France.

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Approuvé par Yellow Kid: Jordan VI (black / varsity red)

Les hommes de 40 ans achètent une Porsche, les hommes de ma génération achètent des Jordans. Et selon la génération, le modèle varie: les DA fan de street art ne jurent que par les I, les inconditionnels de new jack idolâtrent les III, tout le monde se fout des II, et les IV remportent l’adhésion d’une bonne partie des sneakerheads.

Mais pour moi, les Jordans VI ne sont pas qu’une paire de Jordan. Ce sont LES Jordans. Celles qui crystallisent l’esssence du joueur et symbolisent toute une collection. Celles que je n’ai jamais eues, que je désire depuis le mercredi et qui ont illuminé mon samedi. Respirer le nubuck délicat des VI, c’est retrouver l’odeur du désir inassouvi, l’adrénaline quand on volait le lace-lock rouge qui serre les lacets au Décathlon pour le mettre sur des Adidas Torsion, la collection de languettes et de systèmes Pump arrachés aux paires avant de les jeter à la poubelle au bout d’un an parce qu’un pied ça grandit vite, le papier glacé de 5 Majeur et de Mondial Basket. C’est remettre au goût du jour l’éternel débat Jordan vs Magic, s’inventer des exploits sportifs au stade municipal, penser à tirer la langue comme Michael quand on fait un double pas dans la raquette.

Oxmo Puccino disait que personne ne guérit de son enfance. Peut être. Mais rien ne nous empêche de la racheter.

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History of Flight: La rétrospective en ligne de Jordan Brand

Alors qu’il vient enfin d’entrer au Basketball Hall Of Fame (au même titre que les joueurs ayant écrit l’histoire de ce sport), Michael Jordan s’apprête à sortir via sa marque Jordan Brand une collection pour commémorer les 25 ans d’existence de la Jordan, basket culte qui a influencé plusieurs générations.

Prévue pour 2010, la ligne proposera une réédition des 25 modèles existants en blanc sur blanc, et elle est présentée dès à présent à travers cette tuerie qu’est le mini site en flash « History of Flight« , qui propose à l’aide d’animations 3D des anecdotes et explications sur les moments clés de la carrière de Jordan, année par année. Histoire de devenir fan si vous ne l’êtes pas encore.

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Reebok Pump – Twilight Zone

Quand on parle de mode, tout le monde vous sortira qu’il faut vous habiller comme il y a 20 ans pour être hype. Personnellement et 2010 oblige, je suis convaincu que les 90’s vont revenir sur le devant de la scène, alors préparez vos Timberland en daim (Kanye a déjà ressorti les siennes) et vos blousons Starter, vous aurez gagné au moins un an.

Et si vous n’êtes pas convaincu, Reebok a décidé de rééditer l’année prochaine les mythiques Pump « Twilight Zone », vestige d’une époque bénie où les baskets montantes couvraient les tibias et les débardeurs en coton Air Flight étaient le summum pour les joueurs de StreetBall qui faisaient trembler les filets métalliques (les vrais savent).

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B.Manley est le roi du shoot

Je ne sais pas quoi dire, sauf que j’espère que c’est un fake, parce que sinon B.Manley est un extra-terrestre qui fait vraiment peur avec ses shoots hallucinants. Il paraît qu’entre temps, Shaq a vu la vidéo et l’a défié en 1vs1 (avec un pari de 1000 dollars). J’espère pour lui qu’il aura taffé ses lancers francs d’ici là.

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Leroy Smith est le maître de Michael Jordan

On a tous une raison qui nous pousse à ne pas être médiocre. Que ce soit l’envie de rendre fiers ses proches, de repousser ses limites ou de prouver au monde entier qu’on est le meilleur, les possibilités sont multiples. Leroy Smith, roi de la motivation, lève le voile sur son site Get Your BasketBall On, et explique qu’il est la raison pour laquelle Michael Jordan est devenu le joueur mythique que l’on connait tous. Il raconte comment il a pris la place de Jordan dans l’équipe de basket du collège, faisant naître un feu extraordinaire dans les yeux du jeune basketteur, qui a depuis toujours cherché à prouver qu’il était meilleur que Leroy, et propose également de mettre à la disposition de tous ses conseils de coach avisé.

Incarné par Eddy Murphy, Leroy Smith est en fait un personnage fictif hilarant, qui rappelle le Gilles Gabriel crée par Alain Chabat. Un buzz repris partout sur le web, des hypothèses multiples (le nom de domaine aurait en fait été acheté par Nike), un site visuellement très réussi: une leçon pour tous ceux qui veulent mettre en place une campagne virale efficace et intelligente. N’essayez pas de le nier: les cainris sont vraiment trop forts.

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David Beckham vs Kevin Garnett

Petite vidéo virale bien sympa qui montre un 1vs1 entre David Beckham et Kevin Garnett, joueur de basket des Boston Celtics (champions en titre de la NBA). Le but? Marquer des lancers francs en shootant un ballon de foot. Alors, fake ou pas fake?

Encore un coup de génie marketing de la part d’Adidas, qui fait vraiment mal en ce moment avec ses campagnes Celebrate Originality (rappelez vous le spot Block Party avec des cameos de dingue, la soirée où tout le monde rêvait d’être).

Et pour la partie Gossip, David Beckham, encore prêté au Milan AC jusqu’à début mars, a emménagé dans la fameuse résidence italienne de Georges Clooney (celle qu’on voit dans Ocean’s Twelve, le repaire de Vincent Cassel). Encore un truc qui ne va pas arranger les rumeurs d’homosexualité qui entourent Clooney.

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