Live fast, die young. Vivre vite, mourir jeune. En gros, se trouver des excuses pour faire n’importe quoi n’importe quand, en se disant que de toute façon on n’aura pas le temps d’en subir les conséquences. En théorie. Parce que les Rolling Stones ont 70 ans et que chacun de leur mouvement doit être une souffrance, et même Michael Jackson, l’homme au corps le plus martyrisé au monde après Jésus et L.A.S, a dû attendre 51 longues années avant de pouvoir enfin se reposer. Le temps ne passe pas plus vite quand ton cerveau se déconnecte, tu n’as juste pas conscience que tu as perdu un bout de vie, voire un bout d’amour propre. Et en général, tu ne te réveilles qu’avec une grosse migraine et il faut que tu apprennes à vivre avec les regrets. Qui eux, ne disparaissent pas avec un Doliprane malheureusement. Pharrell pleure des larmes de sang à chaque tatouage qu’il se fait retirer, et je ne compte plus le nombre de filles qui ont le visage plus troué qu’un débardeur d’antillais à cause des piercings qu’elles ont préféré ôter au bout de 6 mois. Live fast, die young. Vivre vite, mourir jeune. Quelle connerie.
Les Stones devraient être morts, c’est une anomalie. Johnny aussi.
Mais les 2Pac, Biggie, Jim Morrison, Brian Jones, Janis Joplin, Otis Redding, Jimi Hendrix, Jean-Michel Basquiat… Eux ont vraiment vécu vite. Ils en sont morts. Les autres n’ont fait qu’essayer et comme le dit un grand philosophe « Fais-le, ou ne le fais pas, mais il n’y a pas d’essai ». Rebelle-toi ou ferme ta gueule (quand tu comptes les trous dans ta gueule). Ils sont pas si nombreux à s’être vraiment rebellés (à un niveau personnel ou plus).
Bah alors, tu te mets à bader à cause de l’hiver? Comme tout le monde…
Bad la réf. à L.A.S…