Pour mon premier jeu-concours, j’ai décidé de vous mettre bien et de vous faire plaisir, en vous aidant à faire plaisir à celle qui partage votre vie, ou celle à qui vous espérez secrètement racketter un jeu vidéo ou une paire de baskets le 14 février prochain. Alors pour la St Valentin, et comme je sais que vous faites genre « Ouais, c’est une fête commerciale, j’ai pas besoin d’un jour pour te prouver mon amour » pour ne pas sortir un billet pour mademoiselle, j’ai décidé de vous filer un coup de main en mettant en jeu un casque Monster Heartbeats by Lady Gaga x Dr.Dre (couleur chrome, comme dans « Bad Romance », argument qui fera mouche à coup sûr). Et puis si vous êtes une fille, vous pouvez jouer aussi, ya pas de raison de pas prendre soin de soi directement, vous êtes la bienvenue.
Les règles sont simples: fête de l’amour ou moment de solitude, le thème reste le même, alors racontez moi votre histoire d’amour. Qu’elle soit drôle, touchante, ultra cainrie, carrément triste ou vraiment improbable, du moment qu’elle est authentique et qu’elle défonce, ça me va. Postez le tout dans la partie Commentaires (pas plus d’une histoire par adresse mail, les mails devant être valides sinon je peux pas vous répondre pour vous dire que vous avez gagné, c’est bête un tricheur quand même), le temps que le jury que j’ai constitué prenne sa décision. Les histoires doivent être postées avant le mardi 9 février à minuit (faut bien envoyer le colis ensuite), notification de WordPress pour BlackBerry faisant foi. Et peut être que les gens qui feront tourner l’info en RT sur Twitter auront plus de chances que les autres (bouuh le favoritisme).
Allez, rassemblez moi ces souvenirs éparpillés dans votre mémoire et envoyez les histoires. Bonne chance à tous!
JEU CONCOURS TERMINE! Pour connaître le vainqueur, cliquez ici, et pour lire mon anecdote à moi, c’est par ici.
Moi ça aurait pu être une histoire d’amour…
Aout 2008, coincé tout seul à Paris par le taff, je m’ennuie, on me conseille d’essayer adopteunmec.com. Je tente le coup, vraiment décontracté du gland, pas en mode crève-la-chatte… J’ai rencontré 4 ou 5 filles mais celle-ci reste mon plus grand souvenir.
Sur le site, une fille visite ma page et m’autorise à lui parler. Marrant, elle habite Colombes (donc tout près de chez moi). On papote, rien de très intéressant mais un soir en prenant le bus, sur qui je tombe ? La dite demoiselle : elle habite à 200 mètres de mon taf. On discute rapidement, on échange nos numéros et on prévoit de se revoir pour boire un verre. Un jour, elle est sur MSN via son téléphone, me dit qu’elle a besoin d’une connexion pour répondre à des annonces de taff et me demande si éventuellement elle pourrait utiliser ma connexion. Comme ça m’arrive d’être gentil (si si j’vous jure) et qu’elle est plutôt marrante et mignonne, j’accepte.
En fin de journée donc, on se retrouve dans le bus et direction la maison. Elle envoie ses trucs, imprime deux ou trois conneries, elle est gentille mais épuisante : elle parle tout le temps et elle « adore » tout ce qu’elle voit. A un moment, elle reçoit un coup de fil d’un pote à elle. Vu sa façon de répondre, je comprends que le mec aimerait bien la grimper ou la regrimper (ah oui j’oubliais que la fille m’avait confié avoir fait des photos de charme – jusque là, rien de très surprenant – et qu’elle avait réalisé tous ses fantasmes : avec une autre fille, avec un couple, club échangiste, gang bang… là déjà, c’est un autre level). La discussion dure bien 40 minutes et au bout d’un moment, je lui fais remarquer que de faire le planton dans mon salon pendant qu’elle passe ses coups de fil perso, ça commence à me gaver un peu… ce à quoi elle me répond « t’es bien un mec ». Je commence à sentir l’énervement poindre mais bon, j’étais de bonne humeur.
Elle décide de me montrer une photo sur son téléphone : un décolleté plongeant incroyable et vraiment racoleur « je portais ça pour aller en boite »… Nom de dieu ! Je demande à revoir (nan parce que DAAAAAMN quand même) et là, elle merdouille avec son clavier et je ne fais malheureusement qu’entrapercevoir quelques photos super sympas (témoignant notamment de la qualité de son booty). J’ai essayé de négocier un envoi mais j’ai eu droit comme réponse à « t’y auras droit directement, tu verras c’est beaucoup mieux ». Ah ben oui vu comme ça… « Et puis de toute façon, même si j’en ai envie là, on fera rien, j’ai mes règles ». Un pote lui aurait probablement répondu « tu saignes pas de la bouche à ce que je sache » mais vu que j’avais déjà pu profiter de ce genre de combine lors de ma première rencontre adopte, j’ai botté en touche.
Pour me remercier de lui avoir mis à disposition ma connexion internet, elle m’invite au Mac Do. On arrive là bas, on fait la queue pour commander et elle voit les nouveaux verres en promo pour l’été :
« Oh on dirait un de mes godes ! » crie-t-elle dans l’oreille d’un quadra devant nous… Le mec devient tout rouge, moi je suis mort de rire…
J’ai eu droit à 45 minutes de monologue sur les régimes, qu’il faut pas que sa coloc le sache parce que ceci etc… Parfaitement inintéressant surtout quand c’est en boucle. C’est là qu’elle me confie qu’elle ne peut plus acheter de concombre. Pourquoi ose-je demander… « Ben la dernière fois ma coloc s’en est servie comme gode alors maintenant on évite ». Je reste impassible en façade mais je suis écroulé intérieurement… « Ah oui, carrément… » « Ben quoi, quand t’as envie, t’as envie, tu prends ce qui te tombe sous la main ».
Et c’est là que ça devient génial : « ça peut être n’importe quoi, je sais pas… une brosse à cheveux, un tube de n’importe quoi, un montant de lit ! Une fois j’avais tellement envie, j’avais besoin de quelque chose et le seul truc que j’ai trouvé c’est un flacon de sauce soja… Le truc c’est que j’étais tellement excitée que mon vagin s’est contracté, le bouchon à sauter et il est resté coincé dedans ! J’ai été obligé d’aller voir mon gynéco… Déjà que ça sent pas toujours bon là dedans, là ça sentait carrément le poisson ! ».
Finalement, je l’ai ramenée chez elle, elle m’a relancé une fois ou deux mais mon cœur était déjà brisé…
http://twitpic.com/110qvg
Bon je me lance, rien d’extraordinaire, ma vie c’est pas une comédie romantique.
Septembre 2006, je redouble ma terminale comme attendu avec une seule connaissance, une ex d’un pote, que je ne connais que de vue.
Nous ne sommes pas dans la même classe mais ayant des amis communs, nous sommes dans « l’obligation » de nous voir durant les interclasses.
L’année se passe bien et je commence à l’apprécier de plus en plus mais vraiment comme un bon pote. Effectivement, je lui raconte toutes mes « cibles » féminines durant l’année, tous mes coups foireux avec d’autres filles du lycée.
Malheureusement, c’est le type du fille qui te frappe ou te vanne pour te dire qu’elle t’aime bien, donc j’avais rien vu venir.
Janvier 2007, ma vie sentimentale est un échec, j’ai abandonné tous mes « dossiers » et je me rends compte que ce que je cherche est peut-être sous mon nez. J’étais tellement pote avec elle et elle semblait si distante et sainglante parfois que l’idée ne m’avait jamais effleuré. En tout cas j’adorais la côtoyer.
Et durant ce mois, elle m’invite 2 fois à manger chez elle. J’étais tellement naïf et innocent que même tout ça je l’ai même pas interpréter comme une invitation amoureuse.
A partir de ce moment, j’ai commencé à avoir des échos de soirées des « amis communs ». Il paraissait qu’elle parlait beaucoup de moi. Et qu’elle aurait répondu Oui à la question « Tu veux sortir avec lui? ».
Un footing avec mon pote me disant tout ça m’a alors ouvert les yeux et j’ai passé le mois de Mars à me rapprocher. Et bien sûr, aucunes de ces paroles ou ces actes ne me confirment qu’elle était amoureuse de moi. Je la comprenais vraiment pas et il y a eu quelques clashs.
Je décide donc le 11 avril 2007, avant qu’elle ne parte 2 semaines au Maroc, de l’inviter manger chez moi « pour lui rendre ses invitations « .
Petit repas, je mets « Virgin Suicides » et on regarde ça sur mon lit. Elle se colle à moi et ne regarde pas vraiment le film, moi je laisse les choses se faire. Elle a ensuite la mauvaise idée de me chatouiller. C’est mort pour elle car je supporte pas donc je la retourne et je commence à la maitriser en la chatouillant.
En une fraction de seconde elle se retrouve en dessous, moi au dessus, avec nos visages proches. On se regarde, tous les 2 essoufflés. Et là, comme par magie, nous fonçons tous les 2 pour un long baiser, comme une libération.
On ne parlera presque pas et on ne s’embrassera pas jusqu’à ce que je la ramène à la gare 10 minutes après, comme pour conserver le moment.
Elle m’a avoué plus tard être amoureuse depuis Novembre 06 et qu’elle a détesté tout au long de l’année que je lui parle d’autres filles (voilà pourquoi elle était agressive avec moi quand je parlais certaines fois, je comprenais pas -_-‘)
Aujourd’hui encore elle dit que c’est moi qui l’ai embrassé ( c’est elle ! >_<).
Ca fera 3 ans le 11 avril 2010.
Voilà c'est juste une petite histoire d'amour écolière qui se termine bien, rien de plus.
waw proctologue
bizare ce genre de meuf elle on l’effet inverse de c’qu’elle d’vait avoir une fois la bouche ouverte …………pour regurgité
Ca ne faisait même pas 2 mois que c’était terminé avec l’ « autre p*te ». J’avais le coeur en miette. Mon meilleur ami Xander a décidé de ne pas me laisser dan cet état et me dit « Kelly, allez, viens sur Paris ! On sortira, tu verras ! ».
Donc, une fois sur Paris, à moi l’aventure… Mouais, je suis sortie quoi.
Et un jour, je l’ai croisée. C’était dans une ruelle du 3ème, en face d’un restaurant, la veille de la Gaypride. Et moi, je distribuais des flyers pour une association.
Je ne savais pas si elle était branchée filles mais j’en avais que faire, j’avais flashé. Je suis restée au loin à la regarder, à hésiter. Elle était avec 2 de ses amis, à faire la queue devant un restaurant. Elle avait des béquilles. Pas très sexy sur une autre, mais tellement sexy sur elle… Et puis, son ami de droite m’a démasqué et lui a fait signe, elle s’est retournée, m’a sourit et fait coucou de la main gauche. Ca y est, j’en étais sure, elle était branchée fille. Mais lâche, j’ai rougi, je suis partie.
Au bout de 20 mètres de fuite, je suis retournée sur mes pas. Allez, un peu de courage. J’ai écrit mon numéro de téléphone portable sur un des flyers, et je le lui ai filé, la main tremblante, en prenant soin de lui donner à elle celui avec mon numéro (et pas à un de ses potes).
La, elle m’a demandé mon prénom… Kelly je lui réponds… Euuuh, hum, et toi ? dis-je, troublée… Sarah, qu’elle me répond. Ok, enchantée Sarah… J’espère qu’on se reverra, qu’elle me dit. Intérieurement, je lui dis « T’as plutôt intérêt à ne pas jeter ce foutu flyer… »
Après cet épisode, je suis allée boire un verre avec des copains, attendant toute la soirée que mon téléphone daigne sonner… et puis non, rien, il n’a pas sonné.
On décide alors de bouger dans un autre bar, un bar « féminin ». Moi, je m’en fous un peu, mais je suis la masse.
On arrive en face du bar, et là, mon coeur s’emballe… J’y crois pas. Mais du coup j’y crois, au destin, l’espace d’une minute. Elle est là, elle est dans le bar, je la vois à travers la fenêtre. Elle me voit aussi. Que faire ? Elle décide avant moi, et sort, avec peine, juchée sur ses 2 malheureuses béquilles. Elle me sourit, me parle… de plein de choses. On en apprend sur elle, 35 ans. Et sur moi, 21 ans. Ouch’.
On s’assied à sa table avec ses amis. On passe une super soirée… Bref. J’attends qu’elle m’appelle. La soirée est finie, plutôt positif le bilan.
Ok, bon, on verra, je préfère pas m’emballer.
On s’échange des SMS. Elle m’avoue qu’elle a 2 enfants. Comme pour me faire fuir. Ca fait mal, mais j’encaisse, elle me plaît, j’en ai que faire de ses morveux.
On se voit une première fois, et là, échec total. Un ciné, et elle me ramène tout de suite après chez moi. Elle me snobe, fait sa prétentieuse. Elle me blesse. C’était le soir de la mort de M.J.J. Je m’en souviens comme si c’était hier.
Puis elle poursuit son entreprise, elle me détruit moi et mon béguin, armée d’un seul de ses SMS : « Tu verras à la gaypride, y a pas que moi, il y plein de jolies filles. On se rappellera. » Et BAM, prends ça. Elle veut me faire fuir.
Dégoûtée, je suis. Je devrait supprimer ses coordonnées, ce n’est qu’une erreur de parcours. Arf, comment ose t-elle me dire ça ? Après les pas que j’ai fait vers elle ? Je ne lui plaît pas en fait. C’est ça ? Et bien qu’elle le dise.
La gaypride est passée. Mouais. Je n’arrive pas à l’effacer du tableau. Que faire ? N’y vas pas me disent certains. Elle n’a pas ton âge, vous n’avez rien à faire ensemble, ça sert à rien, et tout le toutim. Le fossé se creuse entre nous. Elle n’est pas faite pour moi. Je vais faire une connerie en la recontactant. Mais je suis têtue.
J’ai hésité, mais j’ai remballé ma fierté et les conseils des « conseilleurs », et je lui envoie par SMS que les filles n’étaient pas si jolies que ça le 27 à la Gaypride… Je n’attends rien de cette médiocre provocation. Mais là, elle me surprend et répond : « On peut se revoir alors ?? ». Je lui réponds, stupéfaite, faussement blasée: « hum, euuh, bah, oui bien sûr… » Elle enchaîne, comme soulagée : « Ok, demain soir, je passe te chercher, prends ta brosse à dents ». Moi, je fais ma blonde, j’y crois pas « Pourquoi ma brosse à dents ??? » Elle : « Ben parce que tu dors à la maison voyons ! ».
Nous voici, 7 mois plus tard. A n’y rien comprendre. 7 mois que ça dure. 2 parcours de vie opposés. 2 fortes têtes. 7 mois de connexion, de discussions, de partage, de sexe, de compatibilité, de rire et de bonheur. Qui l’eut cru ? Mais aussi 7 mois ponctués d’engueulades, de 2 pseudo-ruptures, des pleurs qu’on ne compte plus. Bref, 7 magnifiques mois. Sûrement les 7 mois les plus enrichissants de toute ma petite modeste vie.
La réalité aura sûrement raison de nous deux, tôt ou tard. On a eu tort, ou raison. Probablement tort. Je ne sais pas. Mais c’est beau tant que ça dure…
Histoire balourde mais digne d’un film de Hugh Grant, Juin 2006, mes potes et moi partons en turquie une petite semaine au soleil, donc super bateau, on rencontre des meufs jusque là rien d’extraordianaire vu que jsuis le bon copain et non le tombeur. Bref, on a tous des chansons qui font rappeler nos vacances ou des chansons qui ont marquées ses vacances, bref à cette époque c’était Kanya samet et le 1er Game en fond sonore dans les couloirs d’Holiday Garden mais vu qu’au fond moi perso jsuis quand un gentil (lover quoi) j’ai ramené le cd de wallen, la vie devan soi, avec notamment Ma chanson, « lui que j’aime »…
Semaine super cool, on part à 5 on revient genre une bande de pote mais moi qui suit un kéblo de nature, ne pense qu’à une chose : rentrer eu quartier (eh oui bitume expérience!)
Jsuis pas du genre donc à garder contact avec une meuf surtout pas avec des meufs ou gars que jviens de rencontrer même c’était bon délire, mais vas y on fait la boule genre on s’appelle etc…
Bref on entretien des rapports courtois et amicaux (eh désolé les mecs on est muslmans donc kéblos pour certains lol) jusqu’à trainer au quotidien avec cette fille trop marrante (qui par l’occasion s’est faite virer de son taf car partie en turquie sans motif) et petit à petit il y’a anguille sous roche comme dans les films à l’eau de rose de chez Hugh Grant (mon acteur préféré au passage va comprendre ???) et bref jvous le topo car c’est la honte déjà de raconter ça (mais yellow c’est vraiment parce que c’est les écouteurs de lady gaga !!!!!!) et un jour avec Ma pote maintenant on est sur paris en train de rigoler et je dois la ramener à Gare du nord pour qu’elle prenne le train, il fait 35° dans ma twingo naze qui ne demande qu’à clamser et en fond sonore, le fameux cd de wawa et la chanson mythique…
Donc pour ceux qui connaissent pas « ce » classique voici un extrait :
« Correspondance à Gare du Nord
Je pense encore à notre première danse
Chaque histoire a ses détails
Souffrez que je taise la mienne
Et parlons plutôt de… »
Donc je resitue le contexte, début d’amitié puis anguille sous roche et devant la gare du nord on entend ces paroles… ben merde alors on devient rouge (eh ouais les mecs on des « kéblos » euh muslim) et on ne parle plus mais sourient puis le refrain arrive car en fait on chanter la chanson
refrain
« Lui que j’aime s’il pouvait me dire qu’il m’aime aussi, il me manque
Lui mon errance, mon repère aussi
Lui que j’aime s’il pouvait me dire qu’il m’aime aussi, il me manque
Lui ma douleur, mon remède aussi »
Et là c’est le drame (comprendront ceux qui doivent comprendre pas besoin de faire maths sup’) elle doit prendre le train et moi suis géné (enfin « kéblo » lol), on se quitte mais c’est chelou comme dirait zaho donc jla rappelle de suite dans le train et me dit on verra ce soir, soir attendu avec impatiente (merci enfoiré de millénium de 22h grrrr !!!!!) et là on s’explique, c’es quoi les bayes ?
Rien chacun reste crampré sur ses positions pour pas se manger un vent…Donc le temps passe ou plutôt le lendemain (trop impatient) et rediscution et effectivement anguille sous roche donc on se mets ensemble (faut pas dire à nos parents) puis un an plus tard on se marie…s’ensuit 3 belles années de mariage ponctuées de voyages à travers le monde et le 17 janvier 2010 oui y’a 2 semaines voilà le fruit de notre union, Rayane 3,5 kg et ses 51 cm…
Comme quoi, on est pas si « kéblos » que ça nous les muslims ??? Eh wallah c’est la vérité (lol)
Tant qu’à faire qui veut un site ??? (lol) mais vrai c’est mon taf !!!!!!
Parfois il y a ces yeux qui se posent sous cette lumière feutrée. Des inconnus se cherchent pour mieux s’éviter et se disent des choses en secret. Une impression de flotter dans un espace étranger. Des sourires s’échangent, des têtes se tournent, un regard en coin et peut-être que…. Rétrospective d’une histoire naissante.
Se rappeler tous ces moments.
Vouloir ressentir, vouloir se souvenir.
Fermer les yeux pour mieux subir
« Il me regarde. Je lui souris. Le temps s’est arrêté. Je me sens transportée. Il me parle. Je n’entends rien. Pourtant je n’est d’yeux que pour lui. Mes mains sont moites, mon cœur s’envole. Jordan aux pieds, baggy, doudoune… J’ai tout repéré. Qu’est-ce que je fais, qu’est-ce que je lui dit ? Ai-je l’air débile ? Je t’aime, je t’aime, je t’aime…. Déjà trop »
Yeux qui se cherchent, mains qui se guettent.
Lèvres qui courent, cœurs qui se serrent.
« Pull Carhartt rouge. Baggy Homecore. Pourquoi fixer sur ces détails ? Peut-être pour ne pas paraître perturbée ? Je sens son souffle, ses lèvres paraissent si douces. Il s’approche, effleure ma bouche. Je ferme les yeux. »
Entre amoureuse du moment.
Vouloir le revivre constamment.
Réussir à emprisonner l’instant.
« Ta main sur mon sein. Ma tête sur ton torse. Écouter battre ton cœur. Sentir ton souffle se couper et avoir peur… Peur que tout s’arrête, peur de te perdre. Le jour se lève. Ton visage se dessine. Ton sourire se précise. Les battements m’obsède. Mon esprit s’emballe. Il ne faut pas que j’oublie. Il ne faut pas qu’il oublie… La passion, la folie, la joie, le désir. Notre histoire doit rester spéciale. Je m’endors. »
Ivresse d’une nuit, Ivresse d’une vie.
Projeter dans le monde Féerie.
Avancer en parfaite Harmonie.
Se raconter encore et à corps
le parfait accord de nos deux corps.
Ca manque de « Bad Romance » et d’histoires dégueux quand meme…
Bon aller, à mon tour de me lancer et d’y aller de ma petite histoire… J’avais encore jamais ressenti ça. Déjà 3 mois que c’est fini et elle me manque. Je ne sais plus quoi faire. Je ne sais plus quoi penser. Tout m’emmerde. Je m’ennuie, tout est fade. La musique n’est même plus ma porte d’évasion…
J’ai toujours eu la trouille qu’elle se lasse de moi à la longue. J’ai fait énormément d’efforts, arreter mes conneries de graffiti, une autre drogue dure, j’ai toujours été là pour elle, ses divers problèmes familiaux. Je voyais une dégradation de cette relation, la raison me faisait dire que c’est la paranoïa qui me gagnait. Manque de confiance en moi en fait. Aujourd’hui j’en souffre énormément.
La solution reste l’éloignement, solution de facilité, certes. Le refus de se confronter directement à la réalité, mais plus le temps passe, plus ça m’obsède, je veux la voir, savoir ce qu’elle fait. Comme si elle était ma propriété. Cette part d’égoïsme insoupçonnée doit s’effacer, sortir de mon crâne, elle a une vie aussi merde ! Mais une vie sans moi. Je n’ai pas le droit de lui imposer quoique ce soit. Finalement, fuir reste la solution, il faut que j’arrive à me prouver que tout n’est pas tout noir, arriver à contrôler ma vie, tirer un trait sur tout ce que j’ai fais et me dire que tout ce que je ferais ne pourra être jugé.
J’ai pourtant l’impression de n’avoir pas su profiter assez du temps que j’ai eu à ses côtés. 5 ans! Putain de merde, 5 ans de relation, j’avais pourtant eu le temps. Je ne m’étais pas autant rendu compte de l’importance qu’elle pourrait prendre pour moi. Tout ça n’est venu qu’à la fin de cette relation, j’me suis pris une vraie claque. Tout à été trop vite. Je suis tombé, tombé bien bas. Tout allait bien avec elle, j’ai l’impression d’avoir tout gâché. Maintenant elle me manque. Pas seulement physiquement, j’ai l’estomac noué, les jambes qui flageolent et des larmes qui sortent à n’importe quel moment de la journée.
Elle n’aimait pas que je lui donne trop d’importance lui dire que je la trouvais belle. Comme si elle avait peur de quelques choses, de l’avenir, de mes sentiments. Je n’ai pas su m’y prendre, lui montrer que je tenais très fort sans prendre le risque de la saouler ou jouer l’insensible qui ne ressens rien. Je ne sais plus que faire. Je me vois descendre un peu plus chaque jour, comme attiré par le sol. Je ne comprends pas tout alors j’attends de l’aide, une issue mais j’me sens seul, même entouré. J’attends qu’il se passe quelque chose dans ma vie… Peut être que je l’attends tout simplement…. Elle me manque.
Vous êtes déprimants.
Mon histoire commence comme ça.
Je prenais l’avion pour rentrer de vacances. J’étais en Australie. Et dans l’avion je me mets à discuter avec ma voisine côté hublot.
Là le capitaine annonce des turbulences.
On se retrouve sur une île.
Je tombe amoureux de la brune bad girl mais qui a quand même des sentiments, mais bad girl quand même. Elle ressemble un peu à la fille qui vend des shampoings à la tv.
Mais ya un autre mec qui tourne aussi autour, un semblant de bad boy country qui met des blue jeans. Alors que moi je mets des beaux costumes, normal, je suis Dr.
Alors la fille, un peu troublée, et surtout très concon, ne sait pas lequel de nous deux elle aime.
Et quand on réussit enfin à quitter cette île, elle ne veut plus me voir, la garce. Mais le mec au blue jeans a préféré rester sur l’île. Il se tape une quelconque blonde qui sourit tout le temps.
Moi, je me tape le sale boulot, je sombre dans l’alcool, et pour couronner le tout, je dois reprendre l’avion avec un corbillard avec un vieux chauve dedans. No Homo.
Là dans l’avion, je discute avec la brune côté couloir.
On se retrouve sur la même île. On nous accueille pas avec des colliers de fleurs.
Et au moment de conclure, la blonde meurt, la brune sait pas ce qu’elle veut – toutes les mêmes – et je suis lost.
Ya un prêtre du nom de Jacob qui voulait pourtant nous marier, mais tout est parti en fumée noire.
Et le mec, Ben, qui se prenait pour le boss, en fait il pige quedalle.
Et ya un vieux japonais qui plonge son zgeg dans l’eau.
Je crois qu’il a trop reçu de spam « enlarge your penis » sur la tête.
Finalement, en me réveillant, j’ai remarqué que c’était qu’un mauvais cauchemar, et que j’étais seul dans mon lit, que je n’avais pas mouillé cette nuit là.
J’ai pu partir bosser l’esprit en paix, en prenant le 20 minutes qu’on me tendait à l’entrée du métro, et dans lequel, à la page courrier, j’ai lu :
« Toi le jeune homme avec une casquette, nos regards se sont croisés sur la ligne 4 hier, si tu lis ce message, rajoute mon MSN lol »
Et je portais bien une casquette hier, j’étais bien ligne 4, seulement j’ai pas regardé une meuf, y’avait que des mamas renois à chateau rouge, laisse tomber. Elles avaient encore des bouts de maïs coincés entre les dents. Du coup elles tchipaient à mort.
Alors en rentrant du taffe le soir, j’ai quand même rajouté le msn, on sait jamais, ça ne mange pas de pain.
Et là, il s’avère que la fille c’est ma voisine de palier, qui squatte mon wifi chaque soir au passage, et qui ne m’a jamais remercié.
Au final, je me suis mis un bon porno avec Julia Chanel (ma collec perso) et je me suis endormi comme une merde avec la webcam allumée sur chatroulette, ce qui m’a réveillé vers 3h du mat, quand un homo thug renoi des states s’est mis à gueulé « Yo whithey, show me your ass now ».
Ca m’a traumatisé à vie, depuis je vois une psy, qui me fait dire chaque semaine que si je rêve de la petite soeur de mon meilleur ami, c’est que je veux me taper ma mère et la sus-mentionnée petite soeur dans une partie de triolisme libertin où on porterait tous des masques avec les grosses narines de jay-z en matant des clips de Beyoncé.
Ce qui ne m’empêchera pas le jour de la saint Valentin, d’être peinard dans mon canap’ à boire un bon whisky en gueulant comme un vieux beauf « Happy Ballentine’s Day Beootchhhh »
Fin.
Signé : un mytho conservateur de droite.
you « re lost
Tu seras ma plus belle histoire, je me lance, avec un petit poème :
Poulet, ton boul’, c’est de la boulette.
Je t’aime tant, Yellow Kiddy.
alors je l’ ai rencontrée pour la première fois le 27 juillet 2002, ce soir la comme tout les week-end je sortait avec mon demi-frère qui me proposa d’aller chercher une vieille copine qu’il a revue y a pas de temps par hasard. Cela me dérangeait pas puis de mon coté, j était en couple depuis 5 ans mais ma copine a ce moment la refusait de sortir avec nous le week-end car elle n’aimait pas ca tout simplement ( la seule sortie qu’elle aimait c était le samedi dans un grand hypermarché, je ne dit pas le non car je sais pas si on peut puis d ailleurs on s’en tape mdr).Revenons a nos moutons, donc on va chercher cette inconnue, et des qu’elle ouvrit la pore waouhhhh je savais que c ‘était elle, moi qui suis pas romantique, coup de foudre et tout le bazar qui va avec, je rester sur le cul. Et vous savez comment je me suis intéressée a elle, la première soirée, non , vous trouvez pas, et ben rien , moi si sociable, la j était bloquait impossible d ‘aller lui parler.La soirée se termine, elle rentre chez elle, mais je n avais pas dit mon derniers mot bien décide a la conquérir ( oui oui a aucun moment je ne pensais que j’étais déjà en couple bhouuuu). Deuxième soirée, cette fois au cinéma, avec toujours mon demi frère, je lui parle enfin, mais qu elle phrase débile je lui ai pas sortie, je lui dit « Tu veux voir les photos de mes cousins et cousines? » ouai je sais pitoyable. Et voila, c’était tout mdr. Troisième soirée, je pouvais pas me permettre de passer, une fois de plus a coté, nous sommes sorties a une soirée chapiteau et la Hallelouia, les slows arrivent, et la sans un mots, je la regarde fixement et lui tendit les bras, elle accepta et a ce moment, et de puis 7 ans maintenant nous nous sommes plus jamais quittés, on s’amuse trop bien, entre les sorties, la console ( oui oui madame joue a la console avec moi, c est tellement plus sympathique comme ca, la cuisine, du pure bonheur.
Mais l autre jeune fille, qu ‘est elle devenue, et bien après 1 an de relation double, j ai trouve le courage de la quittait, non pas que je l aimais toujours mais elle faisait des tentatives de suicides et du coups je la quitte a moitie a chaque fois, mais un jour j ai tout avouée a ma compagne car je ne pouvait plus vivre comme ca, on s est disputait, déchirait, fin une horreur mais elle a finit par me pardonner et ma soutenue dans cette rupture, et voila je l ai quitté et vous savez quoi, elle n a fait aucune tentative de suicide cette fois!! pourquoi, tout simplement parce que elle aussi avait rencontré quelqu’un et ne savait pas comment me le dire. C est pas beau la vie….
Pouah, la télé fait des ravages quand même : « la seule sortie qu’elle aimait c était le samedi dans un grand hypermarché, je ne dit pas le non car je sais pas si on peut puis d ailleurs on s’en tape mdr », on se croirait chez Jean-Luc Reichman…
Kidzy, j’ai trouvé le lot de consolation pour les participants : http://www.amazon.fr/conjugaison-pour-tous-Lorthographe-grammaire/dp/2218924404/ref=sr_1_1?ie=UTF8&s=books&qid=1265282434&sr=8-1
Nemanja je suis tombée amoureuse de ton rêve, mdr. Jacob, type au costard, île, brune bad girl.. Remake de la série LOST en songe?! J’aime, j’aime.
tu veux pas qu’on s’aime plutôt ?
On s’aime on raconte notre histoire à Yellow kid on gagne ces putains d’écouteurs. On les vend, on se paye n’importe quoi pour passer du temps ensemble (sauf des pornos pour alimenter ta collec’ perso) et le prochain mec qui me fera la manche sur la ligne A ou C je lui répondrai » désolée j’ai juste assez de tunes pour me payer une demie protese mammaire je dois lancer une nouvelle mode cainri » et la t’es super heureux parce que y’a un super buzz autour de moi donc t’en profites pour te faire des pepettes sur mon dos. Tu me largues je deviens dépressive et je décide donc de sombrer dans l’alcool et de ressembler grâce à la chirurgie à Lisa Simpson melangée à Giggles avec un zeste de charme de ( RIP) MJ. OK on s’aime je suis partante.
mdrrr
en faite ca n’a rien a voir avec la tv mais plutôt la cuisine, j’adore la cuisine, je suis un grand mangeur mais sur les forums de cuisine de manière assez général on a pas le droit de cité de marque, c’est un pli que j ai pris du coup mdrrr
Voilà après quelques hésitations et beaucoup de stress, j’ai décidé moi aussi de vous raconter ma plus grande histoire… C’est pas du mytho, tout est vrai !
La première fois que l’on s’est rencontré, c’était il y a environ sept ans. A cette époque, tu me paraissais inabordable et élitiste. Je ne comprenais pas ton langage, tes codes et le culte que certains pouvaient te vouer. Effectivement, tu étais le centre d’intérêt de toutes leurs conversations mais moi je n’arrivais pas à voir en toi, à percer le mystère. J’avais bien essayé mais je me sentais si stupide à ton contact – un peu comme Solal dans « Belle du seigneur » qui dévore bouquins et revues afin de paraître Culturé en société – que je restais muette. Je t’observais mais je n’osais pas approcher. C’était comme si il y avait une barrière invisible qui nous séparait. Pourtant tu avais à plusieurs reprises essayé de me tenter mais je n’avais pas confiance et j’avais peur de ce que cela pourrait donner. Alors je t’ai fui, j’ai pris la porte en espérant ne plus jamais te recroiser tellement la tentation était forte.
Un rockeur, un skateur, un indie et un rasta plus tard, je revenais à toi. Histoire de hasard ou de bon timing, peut-être étais-je enfin prête ? Je me sentais plus expérimentée, plus confiante. Je m’étais trouvée, je savais quoi et qui je voulais être. Mais il y avait toujours cette cour, ce fan club avait lequel tu flirtais volontiers et où les personnes ne restaient jamais bien longtemps car trop versatiles. Je voulais toutefois avoir moi aussi ma chance de te saisir, de t’avoir pour moi toute seule… Ou du moins d’essayer.
Pour mener à bien mon projet, il me fallait donc les amadouer, réussir à les séduire afin qu’une fois le contact installé, je puisse les faire disparaître, conquêtes après conquêtes et qu’il n’en reste qu’une… Moi. Quelle idée machiavélique ! Sympathiser avec l’ennemi pour qu’il ne se doute de rien. Mais très vite, j’ai déchanté. Vous formiez tous ensemble une communauté un peu beatnik et aviez accepté de vous donner les uns aux autres. Satané Amours plurielles ! Partager ou ne jamais y goûter ? J’ai passé des nuits à réfléchir, à peser le pour et le contre et bizarrement, à me demander si je serais à la hauteur. J’en suis venue à la conclusion suivante : ne pas réfléchir et foncer. Je pouvais toujours essayer, rien à perdre et puis personne sauf le groupe ne le saurait. Mais je le voulais tellement que j’ai fini par céder. C’était en 2005.
Depuis c’est comme si souvent, il me glissait entre les doigts. Il est toujours aussi changeant, courtisé, épié, infidèle mais je crois bien que j’ai accepté. On vit un amour libre, fort et sans prise de tête. Il m’apporte beaucoup et pour lui je suis prête à beaucoup. Et lorsque l’on est ensemble, que tu me susurres toutes ses jolies choses, je me dis qu’au final ça valait bien le coup… et que l’or noir, cette perle rare me colle à la peau.
@Fuck les pseudos: tu es l’une des maitresses de Pierre Bellanger?
atista je t’a… oo
Diyo tu ?
@Haterz pas mal…. pas mal. Bande de batardssss !!! Chui flattée 😀 Peut-être ais-je réussi à susciter votre curiosité ? Ou alors c’était le seul qui pouvez vous permettre de sortir un vanne un peu dégueulasse. Toute façon vous avez rien compris, vous avez même pas trouvé !!!
Note de fin de com : Et les mecs au moins à la fin du tome 1 vous nous faites un Haterz ??? Ce serait le prems avec des anonymes….
Désolée je viens casser un peu cette ambiance festive avec mon junk love qui finit mal. J’aurais aimé écrire un truc drôle et funky sur une conso d’un soir ou sur mon amour du moment mais non…
J’ai pris le gun !
Mon histoire d’amour avec du recul n’en était pas une, voici donc un petit florilège des vestiges de cette glorieuse époque.
Attention, explicit lyrics.
Clin d’oeil à Aurélien, et aux autres cf au rap fr.
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Cher mec,
Sache que …
Je déteste les fils de pu** genre Matt Pokora,
qui te parlent d’amour avant de te mettre des doigts.
T’es comme sa musique t’es une putain d’arnaque,
j’espère ne plus jamais te revoir où y aura un putain d’carnage.
T’es juste bon à collectionner les MST,
t’as confondu le sexe avec une course
jte souhaite d’avoir la bite usée.
Je t’aimais avant que t’achètes une Xbox,
que tu joues a GTA et prennes mon corps pour un sac de boxe.
T’es juste comme Nicolas Sarkozy,
t’avais promis l’amour,
tu m’as offert la vaisselle la lessive.
Comment te dire que tu m’as décu,
que pour moi t’es mort, que ton nom je lui pisse dessus.
T’étais une mauvaise carte dans mon jeu,
je t’ai mis au tapis.
Je suis pas la SPA t’es qu’un chien errant,
jte souhaite l’euthanasie.
Si je t’ai dit je t’aime c’était par pitié,
notre relation c’était du social car t’es qu’un dêchet.
Dès demain j’te recycle, après demain je t’efface.
t’étais qu’un numéro, j’ai vu les textos de ta pétasse…
Chéri je t’aimais mais tu m’a trahie,
Tu m’as menti, tu m’a salie t’es qu’un sale chien
un sale chien un sale chien un sale chien
Je mettrais de l’Arsenik dans ta bouffe si c’était à refaire,
Je voudrais que tu t’étouffes avec,
que la prochaine fois que tu flambes ce soit en enfer.
J’ai mis 6 mois de ma vie entre parenthèse,
je t’ai rendu meilleur pour que mes parents t’aiment.
T’avais cette mauvaise habitude de pas rentrer,
j’étais scotchée au téléphone, tu me demandais de patienter.
J’ai suffisament attendu,
après tout ce que j’ai vu j’attends de te voir étendu.
Je mérite pas une médaille mais un oscar pour t’avoir supporté,
C’est pas de jury de Cannes qui a finit par nous séparer
Si c’est pas de moi la punition viendra d’ailleurs,
m’avoir touché c’est t’être souhaité mille ans de malheur.
T’as eu raison de recruter en avance une autre assistante,
Mon amour était trop grand et toi ta violence trop présente.
J’ai même pas pu reprendre mes affaires avec dignité
t’as jamais étendu de linges mais sur le lit j’ai vu les capotes usagées
Jpensais que ca n’arrivait que dans les films
j’ai vu le temps défiler, pas d’améliorations par ici.
Alors voila la vie d’artiste?
Au lieu de taguer sur les murs t’as fait un flop sur mon visage mais pas seulement.
T’es tombé si bas dans mon estime que t’es plus convertible, t’es comme le franc.
Chéri je t’aimais mais tu m’a trahie,
Tu m’as menti, tu m’a salie t’es qu’un sale chien
un sale chien un sale chien un sale chien
T’avoir quitté c’est un grand pas dans ma vie,
c’est comme avoir sauté dans mes plus belles sneakers depuis mon lit.
Avec toi j’avais la rage de dire mais plus la rage de vivre,
t’as fait des ravages dans ma vie et des barrages de vices.
Maintenant je vais mieux ne t’en fais pas,
Comme dirait le Roi les choses se passent
Si j’avais su qu’effacer un ex serait si facile,
j’aurais mis du tipex sur ton blaze pauvre imbécile.
Au final ma plus belle histoire s’est terminée sur une fausse note,
je t’ai zappé comme la nouvelle star et descendu comme un shot.
Notre couple, c’était le tiers monde sentimental,
l’amour faisait la manche sur le macadam, et j’ai fini par manier le mouchoir comme une sarbacane.
Je peux pas parler des bons moments en vue du dénuement.
Pour résumer notre couple ce fut un dénouement émouvant.
J’ai arrondi les angles mais tout reste pointu,
Je ne veux plus jamais te voir au coin de ma rue.
C’est un échec pour mieux recommencer,
Mourir trente ans, dommage que t’y ai pas pensé,
J’étais ta femme et pas ta fan, maintenant tu sais …
je la connaissais mais avec un rabin
Yellow a raison.
Atista : si tu veux continuer le jeu du chat et de la souris (parce que ok tu m’as cloué le bec, mais j’aime pas ne pas avoir le dernier mot) : nemanjadra@yahoo.fr
Ah c’est ici pour le keystyle ?
[…] vais être franc: je ne m’attendais à ce que vous soyez autant impliqués pour le jeu concours Heartbeats by Lady Gaga. Je pensais avoir droit à des histoires inventées, à des déclarations […]
Tous les jours, library time dans mon ecole a dublin.
Et comme par hasard, tjs assise en face du mm mec.
Aujourd’hui il me demande de surveiller ses affaires, le tps qu’il descende fumer. » Biensur! » ac un grand sourire.
J’en profite pour ecrire en statut facebook mon numero.
Voila.
J’attends.
Alors c’est une histoire qui date d’il y a 10 ans, de quand j’étais au lycée. Mes parents m’avaient inscrit à une summer school dans un quartier chicos de Philadelphie. Je trainais un peu des pieds car j’aurais préféré passer l’été avec les potes, mais c’était aussi l’occasion d’aller aux Etats-Unis, les vrais, les US, mon vieux rêve, et à l’aventure en plus.
Sur place, hébergé chez l’habitant dans une famille francophile, je pris la claque de ma vie : il y avait de la meuf (oui je pensais comme ça à l’époque), et rien à voir avec les néo-babs en pantalon large de mon lycée de banlieue sage. La summer school était peuplée de richissimes européennes, en majorité italiennes du nord ou espagnoles, auprès desquelles mon côté « gangsta » de petit français middle class habillé large avait l’attrait de l’exotisme pas trop dépaysant. De l’autre côté, les filles du quartier où j’habitais me faisaient halluciner tant elles étaient sexy ET avenantes, rien à voir avec la première Française pas trop mal qui se prend pour une reine de beauté qui peut t’envoyer chier. J’attendais donc le premier samedi soir avec impatience : j’étais invité à une soirée chez les voisins, où les parents en bon libéraux du Nord-Est n’avaient rien contre le fait qu’il y ait de la musique forte et un peu de bière.
En attendant le grand soir, je passai la journée à me détendre en jouant un peu au basket sur les playgrounds du coin, à la cool. Soudain, deux ou trois types qui n’avaient rien de bon en tête commencèrent à poser des problèmes dans le quartier. Je me trouvai dans une petite bagarre, ma mère prit peur et me dit : « tu pars chez ta tante et ton oncle à Bel-Air ! »
Je fis signe à un taxi et quand il fut plus près,
des dés pendaient du rétro et sa plaque c’était FRA1S,
je pense que c’était un tacot d’une espèce raffinée,
mais laisse tomber, direction Bel-Air et la zonmè
je descendis devant une baraque d’au moins 7 ou 8 pièces
en criant au tacot « ma maison faut que j’te laisse »
c’était enfin mon royaume que j’avais découvert
je m’installai sur le trône en tant que Prince de Bel-Air
Ma journée est terminée, enfin. Là je suis dans le bus qui me ramènera jusqu’à chez moi. Il est plus de 22 heures et y a un truc que je comprends pas… POURQUOI y a autant de monde ? Et en plus il a fallu que ça tombe un soir de canicule. Il fait chaud. Trop chaud. Et ce qui vient avec la chaleur dans un espace clos où s’entasse plusieurs personnes, c’est les odeurs. D’ailleurs le mec en face de moi il devrait…
– Mais putain BAISSE LES BRAS ! Tu m’asphyxies.
Moi je pue la frite, je bosse au Mac Do près de ma fac. J’étais plutôt contente de m’être trouvé du boulot aussi rapidement, mais vu l’odeur qui reste sur moi toute la journée, je pense que je peux dire que je suis officiellement dégoûtée des frites. A vie.
– Je vais m’évanouir…
Ma journée est terminée donc, et me voilà debout dans un bus bondé, parce que même si je suis une demoiselle y en a pas un qui serait assez gentleman pour lever son cul et me refiler sa place assise. Les portières s’ouvrent, les gens grognent et sont prêts à rentrer dans le lard de tout ce qui bouge.
– Courage… plus que cinq stations.
Et le pire c’est que le chauffeur -chauffard ouais !- roule comme un malade. Ça fait que moi et mon pov petit corps fatigué on a plus la force de se tenir assez solidement pour ne pas percuter les gens. J’ai beau essayer de ne toucher personne, j’y arrive pas. Devant, derrière, sur les côtés… on s’appuie comme on peut, on se cogne même si personne ne le fait exprès. Et p’tain qu’est ce qu’il fait chaud ! Si j’étais un chocolat, j’aurais tout fondu… mais chuis pas un chocolat, et je coule de partout, je pue la sueur et la frite. Et le bus roule, roule, roule et finit par s’arrêter… merde pourquoi personne ne descend ?
– Pff… Fait chaud…
Les gens entrent, ça s’entasse encore, comme si on était pas déjà assez nombreux comme ça. Je suis déportée un peu plus vers le fond, coincée devant un gars que je pourrais pas trop dire à quoi il ressemble, puisqu’il est derrière moi. Je sais juste que c’est un gars parce qu’il vient de me dire :
– C’était mon pied.
Donc je me trouve juste devant lui. J’en viens encore à compter les stations. Quand soudain… il se passe un truc bizarre.D’un seul coup, je sens qu’il fait encore plus chaud puisque le corps derrière moi a été déporté par le mouvement du bus. Il se rapproche encore, sans me coller. Il se retrouve le nez dans mes cheveux, et a un moment son nez a glissé sur mon épaule. Juste le bout de son nez. Et il a respiré contre moi. J’ai sursauté. Il s’est excusé.
– Pardon.
Je lui fait face pour lui demander pourquoi il m’a reniflée et…. Oh douce mère de Dieu.Grand, brun, ténébreux, et des yeux de glace. Je me retourne vite fait parce que je sais que mes joues sont aussi rouge que le ketchup que je nettoie tous les jours sur les tables du fast food. Putain, quel canon !
Vu le regard froid et indifférent qu’il me lance, je peux faire une croix sur le sniffage de cou. C’est SUR qu’il l’a pas fait exprès. C’est vrai, c’est normal quand il y a du monde que l’on sente la respiration des gens derrière soi. Alors on va la fermer et on va prier Satan pour que cet enfer se termine vite. Plus que deux stations et encore une fois personne ne descend. Mais barrez-vous !
Et le bus roule toujours comme s’il voulait battre un record du monde, et on se croirait dans un shaker, et je me retrouve toujours contre les pecs, et le torse, et le ventre du pauvre canon derrière moi. Misère de mémère… Je pue, je sue, je suis dégoûté.
A un autre arrêt, j’essaie de grappiller discrètement quelques millimètres, de m’éloigner un peu de lui, mais comme par hasard il y a que deux personne qui descend pour cinq autres qui monte. On nous pousse encore de partout et du coup là, je me suis retrouvé carrément contre le gars, je n’ai plus aucune prise et je manque de ma vautrer quand le bus redémarre. Mais je ne tombe pas, parce que… oh nom de dieu ! Il… il vient de passer un bras autour de moi.
– Hey !
– Hey ? Tu veux dire « merci » ?
– Euh… ouais, merci.
– De rien.
Il… me tient avec son bras, il me tient contre lui, et mon cerveau s’emballe, aaah psychopathe, lâche moi !! Oh non, ca se trouve c’est un frotteur, il… il va me tripoter, au secours !
– Euh… Vous pouvez me lâcher.
– Si tu tiens debout, je te lâche.
– Je tiens debout.
Je me rends compte que sa voix est tout près de mon oreille, qu’il est si près que je sens tout son torse qui enveloppe mon dos, que je sens l’odeur de son parfum et que ca couvre tout le reste. Il sent bon… putain j’ai les neurones qui grillent.
– T’as peur ? Je vais rien te faire. Tiens toi a moi.
Oh my… il chuchote dans mon oreille. Il a un petit ton joueur, comme pour me mettre au défi de me dégager, comme pour… comment dire… oh… Il glisse le bout de son nez sur ma nuque délibérément, tout doucement. Je le sens respirer sur ma peau et ses lèvres effleurent mon cou.
– Mais… euh…
– En attendant, c’est moi qui te tiens.
Il me serre légèrement contre lui. Toujours sans se frotter contre moi, rien, toujours sans gestes brusques, sans rien faire de déplacé, il m’énerve. Il m’ennerve, lâche moi, espèce de malade ! Mais il pose franchement ses lèvres sur mon cou, et cette fois je sens la caresse d’un baiser. Humide. Chaud. Oh… mon dieu je me sens fondre. J’ai la tête qui tourne, je ferme les yeux et m’appuie contre lui. Qu’est-ce qu’il me fait ? Qu’est-ce que je fais ?
– Je tiens la belle jeune fille qui sent la frite et qui rougit quand je lui parle à l’oreille et qui a des mains toutes moites quand elle me tient le bras.
– C’est… euh… c’est la chaleur.
Je me fais enlacer par un parfait inconnu, bordel mais qu’est ce que je fous ? Surtout, surtout ne pas se retourner, ne pas le regarder, juste sentir son corps derrière moi, juste le sentir contre moi, fermer les yeux et sentir son corps… Mmh…
– Ça vous… euh… prend souvent de retenir des gens contre leur gré comme ça ?
– Seulement les jolies brunes aux très longs cheveux qui sentent la friture. Et j’adore les frites. Je les dévore. J’en mangerais tous les jours si je pouvais.
– Vous me tenez parce que je sens la frite ?
– Seulement la jolie brune que je croise tous les soirs depuis quatre mois à 22h30 en rentrant de mes cours d’info.
– Hein ?
– Mais je n’ai jamais l’occasion de m’asseoir près d’elle parce qu’elle trouve jamais de place assise.
Il me resserre un peu plus contre lui, plonge son nez dans mes cheveux. Il me respire une fois, deux fois, et j’ai des frissons parce que c’est doux, c’est agréable, et puis il est mignon, pourquoi dire non ? Je sens plus mes jambes mais j’essaie de dire une chose intelligente.
– Alors euh… vous avez fait exprès de me sniffer le cou tout à l’heure ?
– Oui.
– Pour la frite ?
– Hm. Et ta peau aussi.
– Vous êtes malade.
– J’assume.
Y a plus personne autour de nous, je ne sens que lui, ses lèvres me brulent la peau, et je me laisse faire alors que je sais pas qui c’est, j’m’en fous c’est trop bon. C’est l’avant dernier arrêt et tout le monde quitte le bus, mais je ne vois plus personne, là il n’y a plus personne, y a juste nous deux. Et bordel j’ai chaud, il continue de me sentir, d’effleurer, de réveiller ma peau du bout des lèvres.
– Comment tu t’appelles ?
J’éclate de rire. Mais n’importe quoi… Je viens d’entrer dans la quatrième dimension. Je lui réponds « Jenny » et je me laisse encore plus aller contre lui. Il glisse son prénom a lui juste au creux de mon oreille. Je ferme les yeux en sentant ses doigts me chatouiller le ventre…. Le bus s’arrête bizarrement. Terminus ? Ah merde !
– J’ai loupé ma station !
– Je sais.
Je souris. Mais qu’est ce que c’est que cette histoire de fou ? J’ouvre les yeux et je tourne la tête, je cherche son regard. C’est tellement irréel que je sais pas quoi dire. Alors il s’en charge à ma place :
– Je connais un café sympa, ca te dit ?
Un mail reçu un soir : « J’ai envie de te connaitre ! Ajoute-moi ! ».
Ca ne me ressemble pas d’écouter une inconnue, mais voilà elle est souriante sur son blog du bout du monde, et elle laisse des commentaires sympas sur le mien… Allez, on se lance.
« Je préviens, si tu mords, je suis pas vacciné contre la rage, alors j’espère que tu l’as pas, ou au moins celle de vaincre.»
Je ne la connais pas, elle habite au bout du monde, je peux bien rester moi-même et dire des choses étranges…
« -*sourire ».
Au fil des jours, les rendez-vous sont réguliers malgré le décalage horaire. On parle de tout, sans sous-entendus, sans prises de tête. Sans se douter de rien… Sans me douter que l’affection se transforme en bien plus que ça. D’échange écrits on passe à l’audio, puis à la webcam, aux mails de plus en plus souvent, et aux petits mots. « Je pense à toi… »
Bientôt elle revient en France voir ses amis, sa famille… Et moi. Une journée que l’on décide de transformer en semaine. A la fin de cette semaine chacun devra retourner à ses obligations. Moi à mon travail, Elle à sa famille…
Obligé de la laisser sur le quai de la gare, avec un « Je veux te revoir » mutuel. Oui mais quand ?
Nous l’ignorions mais cet au revoir n’était que le premier d’une longue série. Car nous nous sommes revus, pour passés des semaines où le temps s’arrête dans les bras l’un de l’autre de Je t’aime en Je t’aime. Mais chacune se termine de la même manière : par un au revoir que l’on croie être le dernier.
Jusqu’à son vol retour, où chose imprévue, c’est moi qui l’accompagne à l’aéroport, avec une promesse : « Dans moins de deux mois je viens te voir ».
Et six semaines plus tard, je mettais les pieds en Asie pour commencer ce qui allait être les meilleures vacances de ma vie. Découvrir un autre pays, une autre culture, avec entre mes bras la plus jolie de ses ambassadrices… Un été entier à vivre avec elle, à la suivre elle et son sourire.
Jusqu’à la nouvelle séparation, inéluctable, du billet d’avion. De longs mois à tenir jusqu’à son retour définitif en France. Je l’aime. Tellement que l’attendre une demi-année ne me fait pas peur, même si l’un comme l’autre nous allons souffrir de ce manque. Manque que l’on comble en se parlant chaque jour depuis mon départ.
Et le 14 Février, je serai le premier à l’aéroport pour l’accueillir Elle, la retrouver enfin, pour ne plus jamais se dire d’au revoir incertains.
C’est l’histoire d’une fille qui est à la fac avec moi, dans mon TD.
« hm elle est mignonne elle » je me dis la première fois que je la vois… « mais les cheveux un peu trop courts je trouve ».
Le temps passe, rien ne se passe. Et puis je remarque qu’elle me regarde… je la vois du coin de l’œil qui me fixe pendant des secondes qui ressemblent pour moi a des heures dans ces moments la (je vois que tu me regarde mais moi je regarde le prof parce que je veux pas que tu sache que je t’ai grillé!!). Je laisse faire. Et puis elle lâche pas l’affaire. Mais qu’est ce qu’elle me veut à la fin ?? Un jour elle s’assied a coté de moi, on discute, elle est super marante, y a un bon feeling, j’aime beaucoup, j’écoute rien du cours pendant 3h, prend son adresse msn, cool.
On se raconte nos vie a distance, je découvre un peu sa vie sur les resaux sociaux bleus à la con, on se rapproche, j’aime bien sa personnalité, ça vient tout seul, pas besoin de forcer, bonne complicité. Elle est super timide quand même, ça me plait j’ai trop envie de la connaitre!.
On s’échange les numéros un jour… c’est parti pour les textos, de plus en plus de textos, puis les appels, de plus en plus d’appels qui durent des heures. j’adore cette fille.
Jamais réussi a la voir en dehors de la fac encore… bizarre. mais ça va venir j’espère.
oups j’apprends par une des ses copines qu’elle a un copain… depuis 3 ans. Bordel! rien a foutre je me dis. je continue comme ça.
On passe de plus en plus de temps ensemble tous les 2, de plus en plus intime mais le temps passe et rien ne se passe…
Je tente une approche physique un jour au moment de lui dire au revoir après un Mac Chicken en tête à tête, elle a peur s’enfuit presque et me laisse en plan comme un con a la station de metro (Place d’italie…) je me sens mal la, je comprend pas!
« je suis désolée je m’en veux je voulais pas que ça se passe comme ça » je reçois 10 min après (facile le texto).
On a une discussion sérieuse par la suite ou elle m’avoue qu’elle a son copain (qu’elle avait pris soin de ne jamais ô grand jamais mentionner) et que, même si ça ne se passe pas si bien que ca, elle ne peu pas lui faire ça bla bla bla… J’encaisse mais c’est dur, j’adore cette fille.
Les choses ne changent pas pour autant. On continue d’être proche, elle se rapproche de moi tout au long de l’année a ma grande surprise, je vois bien qu’il y a un truc… Mais putain que c’est frustrant! Je tombe amoureux d’elle doucement mais surement, plus je la connais plus je veux la connaitre!!
Elle m’avoue se poser 100000 de questions, ne pas savoir ou elle en est, me dit qu’elle est perdueet qu’elle ne veut pas me faire de mal (trop tard) mais qu’elle ne peu pas effacer 3 ans de sa vie comme ça…
L’année va bientôt se finir je pète un câble. Est ce que on va se voir après la fac? il va se passer quoi? qu’est ce que je dois faire? qu’est ce que j’ai mal fait? qu’est ce que j’aurai du faire? faut que je lui dise!! mais lui dire quoi puatin??! comment elle va le prendre?
Trop de questions trop de pression j’en peu plus. Je passe des journées entières avec elle, c’est formidable, j’ai jamais ressenti ça, elle pense trop comme moi c’est fou! et elle est pas bête en plus! j’adore! Mais quand on se quitte on se fait la bise et elle va en retrouver un autre… alors que j’ai qu’une envie c’est de la serrer fort dans mes bras. ça fait trop mal, ça me travail, je cogite.
Elle me rend fou. on est des plus en plus proche, de plus en plus complice on rigole trop… c’est elle qu’il me faut je le sais maintenant.
Elle me dis que je suis tout pour elle, elle me fait comprendre clairement qu’elle m’aime, puis me le dit. je vois ses sentiments. je sais pas quoi faire. Je suis amoureux d’elle.
Bientot la fin de l’année faut que je fasse quelque chose!
Elle est distante d’un coup, ne me calcule plus trop, comme si elle m’en voulais pour un truc. Mais qu’est ce que j’ai fait? c’est a cause de l’autre jour?? mais non elle va pas m’en vouloir pour ça quand même!!? si ?? en tout cas elle est bizarre… alors quoi elle ne m’aime plus? elle a fait son choix ??
Un soir après les partiels pendant une soirée chez une meuf je me retrouve avec elle sur le balcon. C’est le moment il faut que je lui dise, elle m’a pas calculé de la soirée je la reconnais pas. on reste un moment et puis je me lance, et la seule chose que je trouve a lui dire c’est deux mots, deux mots qui veulent tout dire, qui sont sortis tout seuls, je lui avoue que je l’aime.
Et puis la, elle me répond par deux mots, deux mots qui veulent tout dire aussi (enfin je crois) Elle me dit « Mais non… ». Elle attend un petit peu et puis elle s’en va, n’assume pas,et fuit comme la première fois à place d’Italie et moi je reste tout seul comme un con sur le balcon…
j’ai mal.
Il y a tout juste 5 ans j’étais encore au lycée, en classe de 1ere ES, beau garçon, grande gueule mais un peu timide.
Il y a tout juste 5 ans sortait « The Documentary » de The Game, l’album de l’ apogée du clan G-Unit/Shady/Aftermath…
Il y a tout juste 5 ans une fille de ma classe mignonne sans plus, intello a forte poitrine (qui ne savait pas s’habiller) n’arrivait plus a taire ses sentiments pour moi, moi je haissais un blond parce qu’ a chaque récré mon coeur battait pour lui.
Un héros, la bande originale et les deux seconds rôles.
Je rêvais de me la taper sur « How we do », je voulais juste jouer a la PS2 avec lui en enchaînant les blunts sur « Runnin ». Sexuel et platonique.
Petit a petit mon adolescence est devenue rimbaldienne : pourquoi ne pas en faire une aventure dont bien sur je serai le personnage principal et le maître omniscient ?
J’ai passé des journées enfermé dans ma chambre a écouter le détestable « Don’t Worry ».
Au garçon qui habitait le quartier d’a coté j’ai glissé « The Documentary » dans sa boite a lettre histoire de créer quelque chose entre nous… La fille je l’envoyais dans les bras d’autres moins beaux que moi juste pour la perturber ici et la quand j’en aurais envie.
Il y a tout juste 5 ans j’ étudiais Phedre en français, sont arrivées les vacances d’hiver : j’ai touché le fond de la piscine comme Isabelle. On ne dit pas un garçon qu’on l’aime on lui écrit une lettre^^
5 ans plus tard le brouillon de cette lettre je l’ai retrouvé, il y avait déjà tout ma solitude, mon arrogance, le narcissique je crois que je l’aimais parce qu’il etait aussi beau que moi
L’angelus sonne mais mes prières ne montent guère au Ciel.
Ça aurait été plus facile si j’avais eu les mêmes sentiments pour elle que pour lui.
A la merci des regrets de cette époque lolycéenne il me reste l’amer sensation qu’elle s’est vengée de mon aventure rimbaldienne,
a mes presque 17 ans j’ai écrit a un garçon que je l’aimais, et lui peu enclin a mes pulsions de tragédie grecque m’a fait comprendre qu’il ne le dirait a personne… 5 ans plus tard j’ai retrouvé le brouillon de ma lettre. Tout ca me tourmente la fille qui m’aimait devenue papillon vient de se venger, dimanche j’irai regarder « Valentine’s Day » en avant-première j’ ferai la gueule dans mon coin, seul comme un vieux chien.
Voici mon histoire. Elle part d’un postulat très simple : à la base, je n’avais rien demandé. C’était une belle journée d’été, j’étais à mon poste, près de la porte d’entrée du bureau. Concentré, appliqué parce qu’en CDD peut-être reconductible, donc pour le moment tu t’appelles Monsieur Anderson et tu gobes gentiment la pilule bleue.
Puis un taquet. Le genre de taquet qui peut vous faire saigner du nez. « Bonjour, je vous présente…, elle vient de nous rejoindre ». Pourtant pas une beauté époustouflante, mais un charme et un regard…à faire courir le sang dans vos veines. Aujourd’hui encore, quand on me demande de me souvenir d’un coup de foudre, c’est à celui-ci que je pense en premier. En une fraction de secondes, t’étais Booba, tu deviens Steve Urkel, pire, Edouardo. Tu nages dans ton t-shirt ; ou plutôt, ton col devient trop serré. « Bonjour… » avec un sourire au coin ; il ne manquait que la bave. « Hello, à tout à l’heure » avec ce regard malicieux et insistant. Elle avait déjà cinq coups d’avance.
L’amour rend con. Les jours ont passé, et les messages étaient plus clairs…la règle du « no zob in job » ? J’me fous. Je ressemble à Roger Rabbit dans les couloirs ? Je m’en fous. Je la branche une première fois. Un « non » poli, ramasse tes dents, puis 10 minutes plus tard elle revient en fondant en larmes en m’expliquant que c’est « compliqué ». Ah ce « compliqué »…il raisonne dans la tête de tous les gadjos de France. Pas grave, une question de temps. Deuxième essai, à coups de vannes imparables, contre-balancées par de petits gestes attentionnés, des albums, des DVDs qu’elle n’a pas vu, quelques douceurs, un cadeau d’anniversaire…coin coin, j’entends au loin.
Ce n’est pas faux. A l’époque vous m’auriez mis ma gueule au dos d’une doudoune Chevignon, vous l’auriez mise direct. Le souci c’est que ce vol d’oies sauvages a duré près d’un an. Fatigué de courir après elle (et de me griller auprès de mes collègues) je capitule, ça m’a saoulé. L’amour c’est nul.
L’amour rend aveugle. La roue tourne, c’est bien ça qu’on dit ? Vla-ti-pa que quelques temps après avoir lâché l’affaire, c’est elle qui parade. Vous pensez que j’ai sauté sur l’occasion ? Naaannn…pensez-vous. Rappelez vous, l’amour rend con. Et aveugle. Envie d’aller pêcher d’autres crevettes, choper d’autres belettes. Elle devenait indécente, insistante. « T’es marrante…et bizarre ». Elle me déclare sa flamme. « Ouais, mais…je sais plus trop ». Sur d’autres dossiers j’étais. Et puis le « no zob in job », si quelqu’un l’a crée, c’était pour une raison. J’avais 99 problèmes, viens pas te rajouter s’il te plait.
Passage à vide. Quelque temps après, je me suis repris, et puis je me suis dit : tu passes probablement à côté de quelque chose, trou d’uc. Fais quelque chose. Je me suis jeté à nouveau à l’eau. Nous sommes enfin sortis ensemble.
Aujourd’hui ? Nous allons nous marier en juillet prochain.
Pas du tout en fait. Alors que j’étais bien avec elle, elle me dit au bout d’un mois et demi « tu sais, faudrait arrêter quelque temps, ça me fait trop bizarre qu’on soit ensemble à présent ». Jadis Steve Urkel, tu te sens l’âme d’un Dupontel, d’un seul coup. Pas question d’être violent, juste de se dire…bordel. Aujourd’hui, je prends ça avec du recul, vu qu’on se dit bonjour tous les matins…avec un peu d’amertume, quand même.
Donc si j’avais un conseil à donner à tous les kids, à commencer par toi, enfant jaune, ce serait la chose suivante : si un jour vous tombez amoureux sur votre lieu de travail, coincez votre b*te dans le tiroir de gauche et continuez à travailler, vous gagnerez en productivité.
Beautiful loser ? Présent, m’sieur !
PS : merci pour la dédicace, même si cela ne m’était pas uniquement destiné…cette fois-ci j’ai mis mon vrai email 🙂
Alors voila l’histoire.
Il y a quelques années, je touchais presque au but de longues études passées dans le milieu le moins romantique du monde, loin devant la prison : l’informatique.
Dans ce cadre idyllique d’hommes et de machines, je m’étais moi même pris au jeu de la passivité sexuelle, et m’étais laissé pousser une chevelure démesurement…atroce. Bref.
Un vendredi soir comme les autres, tout occupé à changer les sous-titres du nouvel episode de LOST sur le réseau pour en révéler la fin dès ses premières secondes (et ainsi provoquer des convulsions chez ma voisine de classe qui feraient vibrer frénétiquement son tatouage du seigneur des anneaux incrusté dans le gras de ses omoplates) un vendredi soir donc, un pote -dont je n’ai pas eu de nouvelles depuis quelques temps- m’appelle. Suffisamment rare pour que je laisse de coté ma traduction qui partait dans le graveleux, et laissait entrevoir des relations inavouables qu’aurait engendré la promiscuité insulaire.
Voila sa proposition : Ce soir, il va a une fete a Lille, avec des filles d’une école de textile, sauf que la copine qui l’invite veut qu’il ramène des mecs. Donc il a pensé a moi, et a mon colloc de l’epoque, un jeune homme admirable, doté d’une fonction motrice carburo-propulsée, ce qui m’arrange pas mal. Au cas ou, j’organise un coup de tondeuse par le-dit colloc (indispensable pour la suite), repas de champion : on s’envoie des bolinos, et en route.
A ce moment précis de l’histoire, je me demande si j’ai suffisamment insisté sur l’absence totale du sexe feminin dans ma promo.
Ok, visualisez une meuf, meme moyenne. Enlevez la. Maintenant visualisez un geek atroce. lui :
Voila. Ca, pendant 4ans. Tous les jours.
« Va falloir penser a formatter les frigos LOOOLLL ». Enculé de ta mère, fais encore une blague de ce genre, prononce encore LOL a haute voix, et j’te Pète Tes Dents Raclure. PTDR.
C’est avec ce background donc, qu’on debarque a la fete avec mon pote…On a appris entre temps qu’il y a un thème, conceptuel en plus (« et si le luxe c’etait…? »), ce qui a achevé de me demotiver. Mais vu qu’on y est, on se dit qu’on va gratter des Pringles, ou meme toucher un cul dans la mêlée, pour se souvenir de la sensation.
On ouvre la porte. Et la c’est le choc.
Cette porte doit être un genre de vortex qui donne sur un monde parallèle…et dans ce monde parallèle, il n’y a que des meufs, et elles sont toutes incroyablement belles. Un genre de trou noir qui inverse le monde. Facon Jack Black dans l’Amour Extra Large.
Pire encore. Comme une sorte de clin d’oeil insolent d’une force supérieure qui me fait le plus beau cadeau de ma vie, passe à ce moment là dans le cadre de la porte le seul autre mec de la soiree, la concurrence, l’exception qui confirme la règle.
Il est intégralement nu à l’exception d’un slip en coton qu’il a habilement transformé en string, dans lequel il a glissé des crayons de couleurs…Ceux-ci ont déja servi a la gente feminine à ecrire sur son dos : « et si le luxe c’était de se rabiller ? ». Et il passe dans l’encadrure de la porte en sautillant comme un débile profond sur « Abbesses » des Birdy Nam Nam.
Une manière qu’a Dieu de me dire: « la franchement, je peux pas mieux faire, éclate toi mon jeune ». Et moi je pense fort dans ma tete :
« Faudrait penser a sauvegarder la… ».
Je jette un regard a mes deux potes qui veut dire : « les gars désolé, mais ce soir je ne vous adresse pas la parole ». C’était limite inutile, 3min plus tard, chacun d’eux est entouré de cinq filles qui les dévorent des yeux.
Parce que dans ce vortex, meme ca c’est inverse : Les filles crèvent la dalle, elles sont en manque de sexe opposé. Je la vois en miroir cette détresse…Putain je jurerai presque qu’une d’elle fixe la braguette de mon pote ! Pas de manière sale tu vois, c’est juste que c’est la, ca a jamais été aussi pres, et si ca s’éloignait à nouveau, le supporterai-je ? J’devrais ptetre toucher, au pire quoi, il va me prendre pour une folle ? J’aurais touché…
Je lis tout ca dans le regard de cette fille donc, quand je l’apercois, Elle. Voila on y est, le moment qui justifie cette histoire. Je vais pas vous mentir, ni me vanter. C’etait la plus belle fille de la soirée. Je vais aussi devoir faire court, non pas que je désire abreger, mais juste que ma technique pour l’aborder a consisté majoritairement à nous servir, à tous les deux, verres de vodka sur verres de vodka, ce qui plonge une partie de la soirée dans un flou soviétique. Mais pas la plus importante.
On parle de tout et de rien, et je me souviens que comme dans un cliché honteux, tout colle. Elle écoute de la soul et du rap, elle lit tel auteur, et aime tel film. Elle rit a mes blagues, me commande une autre vodka, et m’explique ses études etc. Il n’y a que elle et moi, et c’est la que l’idée que je redoute se fait insistante… Je vais bien devoir passer a l’action. Mais pas pour l’instant. Profitons. Je lui raconte mon concert des Roots au Zenith de Paris, elle me dit qu’elle adore les Roots, et qu’on devrait s’echanger les mail et les numeros, pour se passer de la musique…Elle me dit qu’elle aime bien ma coupe de cheveux (oh putain bien joué, le réflexe tondeuse). Puis d’un seul coup, elle me prend par le bras, et me dit :
« t’as deja joué au street golf ? »
Ellipse de temps. Je suis dans les rues de Lille, il est minuit, et je joue au golf. Oui parce qu’elle avait amené ses clubs. « Et si le luxe c’était le golf? » un truc du genre.
Je touche un panneau stop, apparemment ca vaut des points. Je lui laisse le soin de les compter, parce que tout mon cerveau est occupé à autre chose :
Il y a, a ce moment precis, une réunion de crise dans ma tete, avec pleins de versions de Moi qui s’engueulent pour savoir si oui ou non, bordel de merde, je devrais l’embrasser.
Du cote gauche, une Ola part, lancée par les representants des « Couilles et du Coeur », le parti realiste et sentimental qui réside dans mon cerveau. « A 3, 1….2….3 !!!! »
Mais je ne l’embrasse pas à 3. A droite, le parti « Conservateur et Anticipateur de Rateau » prêche la modération. Pas de prise de risque, pas de claque dans la gueule.
L’hésitation a dû durer pas mal de temps, pendant lequel je dégomme machinalement des parcmètres, parce qu’elle me fait signe, déçue, qu’il serait temps de rentrer.
– « Quel gros con je suis. Espèce de merde va. C’était évident que t’aurais pu l’embrasser…Tu crois qu’elle te demande de jouer au golf pour l’amour du sport ? Tu vaux pas mieux que le pot de crayola en string qui sautille a la fête. »
A ce moment la, un des « Moi » dans ma tête a dû prendre un flingue et menacer l’assemblée de faire sauter mon cerveau si je n’agis pas, parce que je l’agrippe sans m’en rendre compte par la manche, en disant: « hey attends ».
– « Fils de pute va. Me faire ça a moi-meme, sous-race. Je dis quoi moi maintenant ? Elle attend !! Allez improvise ducon. »
Effectivement elle attendait, comme je lui avais demandé.
Alors j’ai dit :
« écoute…ca fait deux heures que je pense a t’embrasser, mais j’ose pas ».
Elle a dit : « oh…mais pourquoi ? » et elle m’a embrassé.
Vote unanime dans le cerveau : VICTOIRE.
Pour la peine on envoie un peu de sang dans le drapeau…vous connaissez.
La suite est simple : Elle m’a amené chez elle, carrément.
Le vortex nous a suivi, et comme tout allait a l’envers, c’est elle qui m’a jeté sur son lit, c’est elle qui m’a deshabillé, et je dois dire, c’est elle qui m’a fait l’amour. Je n’en revenais pas…Un jour il faudrait que je la raconte cette histoire. Mais pas la partie ou j’me tape la honte. Ca, c’est à oublier tres vite.
Flash forward. 3ans et demi apres, je suis sur Paris, je rejoins mon pote Anthony sur les Champs pour aller boire un coup. Ca doit faire 4 ans que je l’ai pas vu…On parle de tout et de rien. Il m’annonce que Yellow Kid organise un concours sur son blog pour gagner les ecouteurs Lady Gaga, il faut raconter une histoire d’amour. Bof, je dis, ils sont un peu moches non? Ouais…on passe à autre chose.
Je lui demande ce qu’elle veut qu’on fasse ce soir, on y va a ce cinoche ou pas ? Elle, c’est toujours la même, elle est assise a coté de moi, depuis le début de la conversation avec Anthony. 3 ans et demi après, et sans vodka, elle est la. Je crois même qu’elle plait a mes potes, en tout cas elle me plait toujours autant, et on est toujours autant en phase. C’est la personne avec laquelle je m’entends le mieux, je crois.
On a laissé Anthony et son Blackberry, on est rentrés tranquillement, finalement, pas de cinoche… On va louer un film, tranquille. Et moi je cogite sur cette histoire de concours.
Alors voila. je vais l’ecrire ce texte, et peu importe les ecouteurs au fond. Elle est marrante cette histoire, faut la raconter. Je sais qu’elle lit le blog de temps en temps, ca la fera marrer. En plus j’ai deja la fin…Ca fera un truc du genre:
Marie, veux-tu m’epouser ?
Oh l’bâtard.
Kara, t’es mon idole !
Kara, ce post est d’une beauté et d’une violence inouies. Ce n’est pas dans mes habitudes mais je vais me lever, marcher doucement vers le congélo et me servir une vodka, en scred, à votre santé…
Kara, moi je dis t’as tout gagné !!! t’es le meilleur
En plus elle m’a dit qu’elle kiffait les Dre !!!
t’as tout tué là !!
Kara tu déchires !!!
Bon ben voilà, Kara a plié le concours ! Félicitations mec (pour l’histoire et la façon de la raconter)
[…] vous me demandez encore pourquoi c’est lui le vainqueur, s’il vous plaît, relisez son histoire. Est ce que j’ai besoin d’en dire […]
Une histoire.. Plus que superbe, ça me laisse sans voix.
Bravo et il mérite vraiment de gagner 🙂
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ouaip, le gagnant sans aucun doute. Très bien écrit !
Merci tout le monde !
Pour ceux qui se demandent, elle etait tres emue en lisant ..
Voila voila, c’est aussi ca Yellow Kid ahah
la classe ! belle plume, belle victoire
Exceptionnelle ton histoire.
Ca ferait un bon film.
Y’a pas à dire, tu gagnes haut la main.
Pour le « Marie, veux-tu m’epouser ? » Elle a répondue quoi en lisant ? 🙂
Oooh l’batard, il m’a transporté avec son histoire là!! La petite larme qui coule 😥
wouuaw…
Salam aka Peace Kara
[…] Pour remporter le concours St Valentin et gagner des écouteurs Lady Gaga x Beats by Dre (Jeu Concours: Heartbeats by Lady Gaga), il suffisait de raconter une anecdote sur une histoire amoureuse, qu’importe le ton et le […]