
Selon des sources administratives, une enquête serait en cours actuellement sur des étudiants de l’Université Sud-Toulon-Var, qui auraient mis en place depuis plusieurs années un trafic de faux diplômes pour la filière IAE (Institut d’Administration des Entreprises).
Principalement prisés par les étudiants chinois parce que très demandés dans leur pays d’origine, ces diplômes étaient vendus par des étudiants (il faut bien s’occuper entre deux grèves), et leur prix pouvait atteindre 2700 euros. Quand on sait qu’un étudiant se vante d’en avoir vendu 300 rien qu’en 2008, qu’on ne vienne pas me parler de situation précaire des universitaires.
Et qu’on ne vienne pas non plus me parler de la plainte déposée par un professeur pour « corruption passive et active et escroquerie », il doit juste râler de ne pas avoir eu sa part. Parce que lorsque Laroussi Oueslati, président de l’université concernée, reconnait que certains étudiants chinois et étrangers n’ont pas le niveau de français normalement requis pour étudier dans ses classes, mais que le taux de réussite aux examens des 650 chinois inscrits est de 100% (contre 90% pour les étudiants français), personne ne trouve ça bizarre. Je sais que plus rien n’étonne venant de la part des chinois et qu’ils ont une réputation de gars intelligents mais quand même, faut pas déconner les gars.
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